Il n’y a pas de hasard, avait-elle écrit en réponse à mon commentaire sur son blogue, il y a une semaine ou presque.
Je commence à penser qu’elle a raison.
Car hier, en marchant – avec une réelle jouissance, je dois l’admettre ! – , sans crampons et sur des trottoirs enfin, enfin ! libres de glace, pour me rendre au bureau de l’orthésiste (j’avais une distance d’un peu plus de 3 km à parcourir) je me suis souvenu d’un senryû écrit il y a plusieurs années déjà et qui (allez savoir pourquoi !*) m’était venu en anglais. Le moment qui l’avait vu naître était pratiquement identique.
En revenant à la maison (j’étais quand même trempée… ), j’ai essayé de trouver une illustration qui aurait pu servir à en faire un haïga. Sans résultat. J’ai donc remis la publication de ce senryû à plus tard.
Mais aujourd’hui, en faisant la visite des blogues amis, j’ai constaté qu’elle et moi, on semble encore sur la même longueur d’onde, si j’ose dire: son billet d’aujourd’hui aussi parle de parapluie !
Faute de mieux, je vous l’offre donc aujourd’hui, associé à un dessin que j’avais déjà utilisé à un moment donné sur ce blogue. Je compte sur votre indulgence.
*P.S.
En essayant de livrer une traduction française de mon senryû, j’ai compris pourquoi il m’était plutôt venu en anglais. Dans la langue de Molière, il n’a pas très fière allure, jugez-en vous-même !
on apprend à faire de la voile
moi et mon parapluie
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